
Aujourd'hui
Ô temps, suspends ton vol…
L'édito de la semaine est signée Nicolas Boursier.
Après un printemps sec et chaud, les rivières et nappes phréatiques ont rapidement atteint les seuils critiques normalement rencontrés en juillet et août. Etat et collectivités locales sont alors montés au créneau, multipliant les arrêtés réglementant l’usage de l’eau. Les prédictions d’un été tout aussi sec ont laissé craindre le pire.
Puis la pluie est arrivée. Avec une désopilante régularité. Pour la plupart, l’été a été «pourri». Pour Anne Turlan, ce fut un don du ciel. « Je crois n’avoir jamais été aussi heureuse de faire face à autant de pluie pendant mes vacances », avoue la responsable du service « eau et biodiversité » auprès de la préfecture.
Hélas, les chutes répétées n’ont pas été réparatrices. L’arrêté de restriction d’usage de l’eau pris par la Ville le 16 juin dernier, est ainsi toujours en vigueur. Les autorisations de prélèvements à destination des irrigants ont été suspendues et reprises au gré des fluctuations des débits. « Il faut bien comprendre que les orages ont très peu d’impact, précise Anne Turlan. Prenons un exemple concret. Après de fortes précipitations, le Clain a vu son débit d’eau atteindre quatre mètres cubes par seconde. Deux jours après, il était revenu au niveau précédent (1,95 m3
À lire aussi ...
Aujourd'hui
Quiconque a la chance de posséder un extérieur se languit du retour des beaux jours et de la possibilité de nouveau offerte de vivre à l’air libre. Plus que jamais, le jardin est une valeur refuge.
Aujourd'hui
Qu’elle soit considérée comme le prolongement de la maison, ou utilisée telle une oasis de fraîcheur, comme un havre de réconfort niché au milieu du jardin, la pergola conquiert de plus en plus de cœurs sensibles au confort et à l’esthétique, au fonctionnel et au durable. Au sommet des préférences, la version « bioclimatique » n’en finit plus de séduire.