Pauline Collet a jeté un véritable pavé dans la mare sur le plateau du journal de France 3 Poitou-Charentes, ce midi. La représentante de l'Union nationale lycéenne (UNL) de la Vienne a affirmé qu'
«une lycéenne avait eu trois côtes cassées par les matraques de la police», lors du blocus du lycée Victor-Hugo, ce matin. Le préfet de la Vienne, Bernard Tomasini, a aussitôt publié un démenti. Selon lui, la jeune fille serait ressortie des urgences du CHU, une heure seulement après son admission,
«sans aucune blessure».