Hier
Lancé en France le 28 mai dernier, l’iPad a déjà conquis les initiés. Au-delà, la tablette numérique interpelle à plus d’un titre. Tarifs, fonctionnalités, abonnement… Etude à la loupe.
Evidemment qu’il fait envie l’iPad ! Avec ses 700 grammes “tout mouillé” et son look de gros iPhone, ce joujou dernier cri rassemble tous les suffrages sur son nom. La première semaine de commercialisation aux Etats-Unis fut mémorable, avec un million de pièces écoulées. Idem en France où, dès le 28 mai, les clients se sont rués dans les enseignes spécialisées. À la Fnac de Poitiers, par exemple, le stock (une trentaine) a fondu comme neige au soleil. À 499 e l’exemplaire (modèle 16 GO Wi-fi), le prix de la technologie est pourtant élevé. “La version 3G est à 100 e de plus”, précise Jolyan, vendeur au rayon micro de la Fnac. On monte comme cela jusqu’à 799 e (64 GO, 3G incluse)… sans compter l’abonnement au réseau. L’Internet illimité coûte 39,90 e par mois chez Orange. Cher, non ? Bien entendu, vous pouvez choisir de fonctionner avec l’iPad en mode Wi-fi.
Qualité de l’écran
Mais, franchement, nous ne sommes pas encore aux Etats- Unis, où les réseaux sans fil sont à la portée de tous, gratuitement de surcroît. Alors, sauf à transformer la tablette en outil fixe, on ne voit pas très bien comment se passer de la 3G. “C’est vrai que le point fort de l’iPad, c’est la navigation Internet”, admet Jolyan. Et la qualité de l’écran, serait-on tenté d’ajouter. Avec lui, la consultation des courriels, des photos de familles ou encore le téléchargement d’applications se transforment en jeu d’enfants.
À mi-chemin entre le téléphone et l’ordinateur portable (pas de port USB, ni de lecteur de carte), l’iPad crée le besoin sans totalement répondre à toutes les interrogations sur sa réelle utilité. Et vous, qu’en pensez-vous ?
À lire aussi ...
Hier
DMLA : un implant innovant
Contre la DMLA atrophique, il n’existe pas de traitement mais il est possible d’améliorer la vue des patients, sous conditions, grâce à des technologies innovantes telles que le SING IMT, un implant nouvelle génération. Plus de détails avec le Pr Levéziel, du CHU de Poitiers.
jeudi 21 novembre