Antoine Decourt

Le7.info

L'association de cinéma d'art et essai, Acor, vient de livrer les raisons pour lesquelles elle a déposé un projet de recours à l'encontre de « restructuration de l'offre cinématographique dans l'agglomération poitevine ». Par voie de communiqué, ses représentants critiquent « le renforcement du déséquilibre évident à l'échelle du territoire. (…) », induit par le projet. Ils poursuivent : « Le CGR se retrouverait alors structurellement dans une position dominante renforcée, qu'elle soit directe (sur 29 écrans, CGR en exploiterait 25) ou indirecte (CGR toucherait un loyer essentiellement financé par l'argent public pour l'exploitation, par le Tap, de trois des huit salles du Castille). » La Commission nationale d'aménagement commercial rendra ses conclusions dans un délai maximum de quatre mois.

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