Vos bonnes résolutions 2023

Dirigeante de Kaphisto RH, Karine Billaud livre chaque mois une chronique sur l’emploi dans nos colonnes.

Au-delà des imprévus, bons ou mauvais, cette nouvelle année sera avant tout ce que nous déciderons d’en faire. Quelles sont vos bonnes résolutions professionnelles ou plutôt vos objectifs ? 
Pour vous inspirer, voici le Top 5
des réflexions issues de nos échanges en 2022.

5. « Je pense avoir de bonnes idées mais je ne suis pas entendu. Je suis frustré à chaque fois et je m’en veux aussi car d’autres arrivent toujours à mieux « vendre » leur approche. » En 2023, je m’affirme davantage et/ou j’apprends à adapter ma communication pour faire valoir mes avis !

4. « J’ai des super projets en tête mais un autre les met souvent en route avant moi ou le temps passe et, après, c’est trop tard. » En 2023, stop à la procrastination !

3. « Mes proches trouvent que je travaille trop. Je culpabilise de ne pas partager autant de moments qu’ils le souhaiteraient mais le travail est important pour moi. Donc je ne coupe pas mon téléphone et suis en veille même le week-end. » En 2023, je m’accorde mon droit à la déconnexion ! Je préserve ma charge mentale et je profite de ma famille et de loisirs.


2. « L’ambiance est sympa mais je ne suis plus motivé dans mon poste. J’aimerais évoluer sur des tâches plus variées. Je ne sais même plus si c’est le métier que j’ai envie de faire. » Alors en 2023, au lieu de tourner en rond et finir par faire moins bien mon travail, j’en parle vraiment à mon N+1 et au service RH, s’il y en a un, afin d’étudier les possibilités, les projets à venir dans lesquels je pourrais m’inscrire. Je fais le bilan de la situation, voire un bilan de compétences. Je ne reste pas dans l’attente et je précise le type de poste qu’il me faudrait.

1. « J’ai une boule au ventre pour aller travailler. Mon médecin veut m’arrêter. Je ne me retrouve pas dans la culture et la stratégie de mon entreprise. Je me plains sans arrêt auprès de mes proches. » En 2023, je passe à l’action. Être mal au travail n’est pas une fatalité, heureusement. En interne, j’alerte, je propose une médiation ou autres solutions. S’exprimer fait du bien et est constructif pour tous. Et si cette approche ne peut aboutir à une amélioration en interne, je prends du recul, je fais le point sur ce que je sais faire et mes attentes et je regarde ce qui se passe ailleurs. Renoncer n’est pas forcément un échec mais peut aussi être une force et le début d’une belle année.

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