
Aujourd'hui
Ô temps, suspends ton vol…
L'édito de la semaine est signée Nicolas Boursier.
"Mon premier sentiment, c'est le soulagement, commente Léonore Moncond'huy, maire EELV de Poitiers. J'en profite pour adresser mes félicitations républicaines au Président, Emmanuel Macron. Mais j'ai aussi un sentiment d'amertume, avec un vote qui est avant tout un vote de préservation de la République. Notre responsabilité est double, désormais. Le Président doit entendre la colère profonde d'un pays où l'extrême droite n'a jamais été aussi forte, réparer les fractures sociales qu'il a contribué à creuser et apporter enfin une réponse aux enjeux écologiques. Et en ce qui nous concerne, nous devons exiger ces enjeux qui sont importants pour nous, que l'on arrive à influer sur la politique nationale. Les législatives ? Je me suis exprimée en faveur d'une union des gauches. Elle correspond à une attente forte des citoyens et des citoyennes. Il s'agit aussi de représenter notre territoire, qui s'est largement prononcé en faveur de nos idées au premier tour. Nous devons tout faire pour travailler ensemble et avoir une représentation parlementaire qui corresponde aux attentes du territoire. Je suis optimiste sur l'issue des négociations qui sont menées au national, et auxquelles je participe, bien que nous soyons exigeants. On ne gagnera que si chaque électorat s'y retrouve, ce ne doit pas être une absoprtion au profit d'un seul. Il faut que ce soit nouveau, c'est là que ça se joue désormais."
À lire aussi ...
Aujourd'hui
Quiconque a la chance de posséder un extérieur se languit du retour des beaux jours et de la possibilité de nouveau offerte de vivre à l’air libre. Plus que jamais, le jardin est une valeur refuge.
Aujourd'hui
Qu’elle soit considérée comme le prolongement de la maison, ou utilisée telle une oasis de fraîcheur, comme un havre de réconfort niché au milieu du jardin, la pergola conquiert de plus en plus de cœurs sensibles au confort et à l’esthétique, au fonctionnel et au durable. Au sommet des préférences, la version « bioclimatique » n’en finit plus de séduire.