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L’assemblée générale constitutive de l’association Technopole Grand Poitiers s’est déroulée le 21 juin. La structure se veut le guichet unique de ceux qui entreprennent sur le territoire. Le CEI disposera de l’une des deux antennes.
Etre un catalyseur de l’innovation, accompagner et former les entrepreneurs, innover et anticiper, animer et communiquer, aider au développement de l’activité à l’international. La feuille de route de l’association Technopole Grand Poitiers tient en cinq points et son président, Alain Claeys, se chargera de les mettre en application. « Cette Technopole doit faciliter l’émergence d’entreprises innovantes et l’innovation dans les PME », martèle le président de la communauté urbaine.
Le 21 juin, l’élu a posé les premiers jalons de l’association éponyme, au côté de représentants de la Région, de l’université de Poitiers, du CHU, de l’Ensma, du Centre d’entreprises et d’innovation, du Cned, de Canopé, des chambres consulaires, organismes de recherche et du Département. « A ces membres de droit, s’ajoutent bien évidemment les entreprises et les clusters du territoire », précise Alain Claeys. Très concrètement, Technopole Grand Poitiers aura deux lieux d’implantation : le Biopôle, sur le campus universitaire, et la Technopole… du Futuroscope.
Grand Poitiers cherche actuellement des locaux pour abriter l’association et la pépinière d’entreprises (CEI). Car au-delà d’« accompagner les projets », la structure devra aussi les « incuber » et permettre leur « développement en pépinière » et favoriser leur « accélération », via des financeurs publics et privés. Au total, Technopole Grand Poitiers disposera d’un budget de 900 000€ par an. Le recrutement d’un directeur ou d’une directrice a été lancé récemment.
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