![Un tract du RN distribué avec le magazine du Département, la collectivité porte plainte](https://www.le7.info/media/cache/home_small/uploads/photos/6685477e315cb.jpeg)
Aujourd'hui
78 voix. Voilà ce qu’il avait manqué à Gérard Herbert, en 2007, pour accéder à l’Assemblée nationale. Tout près du but, le mairie divers-droite de Chauvigny n’a jamais renoncé à un destin national. Le voilà donc candidat aux Législatives de 2017. Un positionnement « en dehors des partis » qu’il revendique, même s’il avait clairement affiché son soutien à François Fillon pendant la campagne des Présidentielles. « Je considère toujours que son programme était le seul à même de redresser le pays. Pour ma part, je connais les difficultés des gens qui vivent dans le monde rural et semi-rural. Je veux défendre leurs voix en tant que député. Maintenant, je voterai les lois qui iront dans le sens de l’intérêt du pays… »
Pour sa deuxième campagne nationale, le médecin généraliste (61 ans) a choisi de faire équipe avec Jean-Louis Ledeux, conseiller départemental du canton de Lusignan. Le binôme aura fort pour déboulonner le député sortant Jean-Michel Clément, investi par La République en Marche. D’autant qu’Enguerrand Delannoy (LR-UDI) et Delphine Jumeau (FN) se présentent comme des rivaux de poids. Rappelons qu’au premier tour de la Présidentielle, Marine Le Pen était en arrivée dans cette circonscription, avec 22,71% des suffrages exprimés.
Pour faire mentir les pronostics, Gérard Herbert a donc choisi de multiplier les rencontres sur le terrain, de L’Isle-Jourdain -où il a lancé sa campagne hier soir- à Bonneuil-Matours. Le tout en moins d’un mois. Sacré challenge.
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