Aujourd'hui
Le PB86 à la relance
Diminué et giflé à Saint-Chamond- Andrézieux vendredi, le PB86 doit réagir après deux revers consécutifs. Roanne, 2e de Pro B, paiera-t-il l’addition vendredi à Saint-Eloi ?
On n’a pas tous les jours l’occasion de manipuler un robot chirurgical... Autant le dire tout de suite, le Da Vinci sera la star de la 3e Nuit des chercheurs, organisée mercredi de 17h à 20h, dans le hall du CHU de Poitiers. Depuis sa mise en service en 2015, son programme d’utilisation n’a cessé de monter en puissance. Aujourd’hui, quatre spécialités ont recours au quotidien à ses bras mécaniques : l’urologie, la gynécologie, la chirurgie viscérale pour réduire le volume de l’estomac des patients obèses, ainsi que la chirurgie cardio-vasculaire. Dans chaque cas, la précision du geste et la finesse de l’outil sont plébiscitées. Pour le patient, le robot réduit la durée d’hospitalisation et les douleurs post-opératoires.
C’est donc auréolé de toutes ces qualités que le Da Vinci sera présenté mercredi. Mais d’autres innovations bénéficieront également de l’exposition exceptionnelle offerte par la Nuit des chercheurs. C’est sa vocation : faire connaître au grand public des technologies de pointe portées par des médecins de haut niveau. A ce titre, vous pourrez découvrir les travaux du Pr Philippe Rigoard et de son équipe Prismatics sur l’analyse et la gestion de la douleur et l’hypnose pré-opératoire. Le Pr Rémy Guillevin (laboratoire I3M) répondra à toutes les questions sur l’IRM 7 Tesla de dernière génération, arrivée en août au CHU, et sur son projet de biopsie virtuelle. Les multiples activités du Centre d’investigation clinique (CIC) dirigé par le Pr René Robert seront bien représentées. Au menu, les nouveaux patchs de contrôle de glycémie sans piqûre, un jeu interactif pour saisir les contours de la recherche clinique ou encore un zoom sur la chambre d’hypoxie dont s’est doté récemment le CIC et qui permet de moduler le taux d’oxygène dans une pièce.
Pressions anti-migraine
De son côté, Hélène Kerzusan viendra présenter une méthode de lutte contre les migraines, que cette infirmière de neurologie développe dans son service. « Je m’inspire de quatre techniques différentes de médecine douce, non-médicamenteuses, qui consistent à agir sur des points précis, la réflexologie, l’acupuncture, le shiatsu et la pulsologie cranio-sacrée », indique la soignante, qui a déposé un dossier de financement auprès du fonds Aliénor. Depuis sa création en septembre 2016, ce fonds de dotation pour la recherche médicale poitevine a contribué à une dizaine de projets pour un montant total de près de 370 000€.
À lire aussi ...
Aujourd'hui
Diminué et giflé à Saint-Chamond- Andrézieux vendredi, le PB86 doit réagir après deux revers consécutifs. Roanne, 2e de Pro B, paiera-t-il l’addition vendredi à Saint-Eloi ?