C’est « la ligne structurante » du réseau de transports publics à Poitiers. La ligne 1 part du Futuroscope, dessert les pôles République, le centre-ville via le viaduc Léon-Blum et se dirige ensuite vers le CHU. Après un été 2016 consacré à la modernisation des réseaux d’électricité et de gaz, une nouvelle période de travaux va s’ouvrir dès le 22 mai. 34 000m2 de voiries vont être transformés pour « proposer un système combinant mobilités douces, transports en commun et véhicules individuels » tout en « améliorant la qualité du cadre de vie ».
Sur la rue de l’Université, chaussée et trottoirs vont être retravaillés, les revêtements modifiés à la manière de ce qui a été fait dans le reste de la ville. Les deux stations de bus (900 bus par jour) seront installées en vis à vis avec des quais adaptés aux personnes handicapées. La fontaine de la place du marché disparaît mais les platanes restent. Grand Poitiers va même planter d’autres arbres jusqu’à l’ancienne faculté de médecine, histoire de revoir l’entrée de ville par la voie André-Malraux.
Les travaux vont entraîner la fermeture complète à la circulation de la rue de l’Université jusqu’à la place Lepetit, du 1er juillet au 31 août. Les bus seront déviés, les riverains seront incités à utiliser les parkings souterrains. Mais les modifications ne s’arrêteront pas là. En septembre, le pavage de la place Charles-de-Gaulle démarrera entre l’office de tourisme et le marché couvert. Les anciens pavés devant l’église marqueront la limite de ce nouvel aménagement.
Avenue de Nantes et rue de la Roche, l’idée consiste à « renforcer l’attractivité commerciale, avec la suppression du talus central, la création d’une quinzaine d’arrêts-minutes et la plantation d’arbres ». Une fois les travaux terminés, la circulation automobile sera interdite entre la rue du Clos de la Roche et la rue Cordorcet.
Ici, le profil des deux rues va être profondément revu. Les travaux se dérouleront du 22 mai à novembre 2017.
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Patricia Thoré « de la Maraf ». 67 ans. Originaire de Rochefort, arrivée dans la Vienne en 1998. Ancienne militaire de carrière aujourd’hui responsable de la Maison d’accueil et de retraite des animaux de la ferme, à Salle-en-Toulon. Amie des bêtes et femme de conviction.
