
Aujourd'hui
Ô temps, suspends ton vol…
L'édito de la semaine est signée Nicolas Boursier.
Comme le bon vin, le marathon Poitiers-Futuroscope se bonifie à mesure que les années passent. Le « nouveau » parcours inauguré en 2009 a achevé de séduire les plus réticents à l’ultime effort. Bien sûr, en termes de fréquentation, l’épreuve ne crève pas le plafond. « À l’heure où je vous parle, nous sommes à 725 inscrits, détaille Noël Bricault, le porte-parole de l’association organisatrice. Nous espérons atteindre les 800 le 13 mai prochain. »
Histoire d’éliminer les dernières scories de l’édition 2011, le staff a procédé à quelques retouches sur le parcours, dont le départ comme d’habitude donné du parc de Blossac. Terminé l’interminable aller-retour le long de la voie ferrée à Dissay. Idem pour le passage pas très glamour par la zone d’activités Ipark. En remplacement, les marathoniens se verront offrir du rab’ dans le centre-ville de Poitiers, ainsi qu’une boucle supplémentaire à proximité de Bonilait (Chasseneuil).
« L’heure de départ a aussi été avancée d’une demi-heure -8h30 au lieu de 9h- pour permettre aux coureurs les plus éloignés de repartir plus tôt », complète Noël Bricault. Au-delà de ces quelques ajustements, l’édition 2012 promet une belle bagarre aux avant-postes. Plusieurs pointures kenyanes et éthiopiennes sont en approche, dont l’une détient un record personnel à 2h10. Dans le peloton des « régionaux », on suivra avec attention les perfs de Jérôme Auriault (5e en 2011), Kamel Latrach (12e) ou encore Frédéric Beau (30e).
Marathon Poitiers-Futuroscope, dimanche 13 mai (8h30). Arrivée devant le Palais des congrès du Futuroscope. Plus d’infos sur www.marathon-poitiers-futuroscope.com
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