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Cinq jours de fêtepour un anniversaire
Catégories : Société, Social, Solidarité Date : mardi 20 mars 2012Un moment phare de la saison culturelle étudiante s'est ouvert lundi soir. Jusqu'au 24 mars, des dizaines de spectacles et de concerts vont rythmer la dixième édition de « Campus en festival » matin, midi et soir.
« Quand je suis arrivé en 2004, l'université ne disposait pas de service culturel mais seulement d'un chargé de missions. Je suis fier d'avoir participé à sa création car je suis persuadé qu'au-delà de la formation, l'université a pour rôle de favoriser l'épanouissement et l'enrichissement culturel des étudiants. » C'est par ces mots que Jean-Pierre Gesson a ouvert sa dernière édition de Campus en festival. Le 11 avril, il ne sera plus président de l'université de Poitiers.
Dominique Moncond'huy, candidat à la présidence de l'université et créateur de « Campus en fête » en 2002, était assis lundi soir sous le chapiteau installé près de la résidence Rabelais. Tout comme Isabelle Lamothe, actuelle vice-présidente en charge de la culture et membre de l'équipe adverse d'Yves Jean.
Le festival a démarré avec un concert de l'orchestre de l'Ensip, spécialisé dans les bandes originales de films. Parmi les événements à ne pas rater, la rédaction du 7 vous propose :
- Les Crous Dating, Crous Fighting, Crous Crouting : tous les midis, les improvisateurs de l’Adiv et de la Ludi prennent d’assaut les cafétériats du campus.
- Une soirée au Confort moderne : L’Amie Zik organise une soirée de concerts jeudi à partir de 22h. Invités : Noghingness et The Inspectore Cluzo and the FB’s horns.
- Le Tremplin musical : Ce soir, à partir de 20h30 sous le chapiteau, trois groupes d’étudiants bourrés de talents s’affronteront pour représenter la région sur une scène nationale.
- Improvisations autour de Dogora : la chorale et l’orchestre de l’université se produiront sur la scène de la Maison des étudiants, vendredi 23 mars à 21h. Au programme : des extraits de Dogora, un opéra d’Etienne Perruchon entièrement écrit dans un langage imaginaire. Les membres de la Ligue d’improvisation théâtrale (Ludi) joueront des scènes à partir des brèves explications de l’auteur. « Nous devrons nous faire comprendre sans utiliser de vraies phrases. Chez nous, cela s’appelle du gromelot. On adore ça ! », raconte Lucie.
- Chasse à l’homme… : L’association Ordalie organise un « killer », autrement dit une chasse à l’homme (pour de faux !). Pendant toute la durée du festival, les participants cherchent à « tuer » leur cible en lui faisant dire ou faire quelque chose… De quoi devenir complètement paranoïaque !
- Des projections de films, des concerts, une Nuit monochrome, vendredi soir à la faculté de Lettres&Langues… Des tapas et un concert de Tram des Balkans sont prévus en clôture, samedi à partir de 20h30, à la Maison des étudiants.
Une douzaine d’associations étudiantes sont venues sur le plateau de Pulsar pour présenter leur activité dans le cadre de ce festival. A réécouter en poadcast sur radio-pulsar.org
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