Hier
Un exploit, un vrai pour le PB86
Dans les cordes après dix minutes, le PB86 a renversé Roanne, 2e de Pro B, au terme d’une seconde période incroyable d’intensité. Poitiers se rassure après deux revers d’affilée.
« Quand je suis arrivé en 2004, l'université ne disposait pas de service culturel mais seulement d'un chargé de missions. Je suis fier d'avoir participé à sa création car je suis persuadé qu'au-delà de la formation, l'université a pour rôle de favoriser l'épanouissement et l'enrichissement culturel des étudiants. » C'est par ces mots que Jean-Pierre Gesson a ouvert sa dernière édition de Campus en festival. Le 11 avril, il ne sera plus président de l'université de Poitiers.
Dominique Moncond'huy, candidat à la présidence de l'université et créateur de « Campus en fête » en 2002, était assis lundi soir sous le chapiteau installé près de la résidence Rabelais. Tout comme Isabelle Lamothe, actuelle vice-présidente en charge de la culture et membre de l'équipe adverse d'Yves Jean.
Le festival a démarré avec un concert de l'orchestre de l'Ensip, spécialisé dans les bandes originales de films. Parmi les événements à ne pas rater, la rédaction du 7 vous propose :
- Les Crous Dating, Crous Fighting, Crous Crouting : tous les midis, les improvisateurs de l’Adiv et de la Ludi prennent d’assaut les cafétériats du campus.
- Une soirée au Confort moderne : L’Amie Zik organise une soirée de concerts jeudi à partir de 22h. Invités : Noghingness et The Inspectore Cluzo and the FB’s horns.
- Le Tremplin musical : Ce soir, à partir de 20h30 sous le chapiteau, trois groupes d’étudiants bourrés de talents s’affronteront pour représenter la région sur une scène nationale.
- Improvisations autour de Dogora : la chorale et l’orchestre de l’université se produiront sur la scène de la Maison des étudiants, vendredi 23 mars à 21h. Au programme : des extraits de Dogora, un opéra d’Etienne Perruchon entièrement écrit dans un langage imaginaire. Les membres de la Ligue d’improvisation théâtrale (Ludi) joueront des scènes à partir des brèves explications de l’auteur. « Nous devrons nous faire comprendre sans utiliser de vraies phrases. Chez nous, cela s’appelle du gromelot. On adore ça ! », raconte Lucie.
- Chasse à l’homme… : L’association Ordalie organise un « killer », autrement dit une chasse à l’homme (pour de faux !). Pendant toute la durée du festival, les participants cherchent à « tuer » leur cible en lui faisant dire ou faire quelque chose… De quoi devenir complètement paranoïaque !
- Des projections de films, des concerts, une Nuit monochrome, vendredi soir à la faculté de Lettres&Langues… Des tapas et un concert de Tram des Balkans sont prévus en clôture, samedi à partir de 20h30, à la Maison des étudiants.
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