
Aujourd'hui
Ô temps, suspends ton vol…
L'édito de la semaine est signée Nicolas Boursier.
Open de la Vienne, 24e édition. Fidèle à des ingrédients de convivialité et de sérieux qui ont fait le succès de leur tournoi, le Stade poitevin tennis et le Conseil général reviennent plus soudés que jamais sur le terrain de leurs exploits.
Ce ne sera pas le cas, sportivement parlant, du lauréat de 2011, le métronome Marc Gicquel, que le 15 000$ (+ hébergement) de Poitiers n’a pas réussi à sa sortir de sa pré-retraite. Pour lui succéder, le Boulonnais pourra toutefois compter sur une impressionnante armada de compatriotes.
Ils sont en effet pas moins de quinze Français à figurer sur la liste des dix-huit têtes de série du tournoi. Le premier d’entre eux, Kenny de Schepper, s’annonce d’ores et déjà comme l’épouvantail de l’épreuve. Son rang de 166e mondial, comme la puissance de son service, en font un favori logique.
Il lui faudra toutefois se méfier des assauts de quelques valeurs sûres, comme Romain Jouan (n°225), Jonathan Eysseric (n°319) et sans doute plus encore du solide Josselin Ouanna, 88e joueur mondial en 2009 et de nouveau armé de saines ambitions.
Le tableau final, tiré au sort dimanche à 12h en plein cœur des qualifications (lesquelles se termineront lundi matin), proposera au total trente-deux joueurs. Et parmi eux deux wild-cards « maison », Maxime Quinqueneau (notre photo) et Thibaud Berland.
Champions de France et d’Europe universitaires par équipes l’an passé, les deux figures de proue du Stade poitevin, respectivement -30 et -4/6, auront cette année une belle carte à jouer dans le giron des prétendants au sceptre, l’écart avec le haut du panier n’étant pas incommensurable.
A noter qu’un tournoi de double est également prévu. Il comprendra seize équipes et s’achèvera le vendredi en soirée.
À lire aussi ...
Aujourd'hui
Quiconque a la chance de posséder un extérieur se languit du retour des beaux jours et de la possibilité de nouveau offerte de vivre à l’air libre. Plus que jamais, le jardin est une valeur refuge.
Aujourd'hui
Qu’elle soit considérée comme le prolongement de la maison, ou utilisée telle une oasis de fraîcheur, comme un havre de réconfort niché au milieu du jardin, la pergola conquiert de plus en plus de cœurs sensibles au confort et à l’esthétique, au fonctionnel et au durable. Au sommet des préférences, la version « bioclimatique » n’en finit plus de séduire.