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Claude Bertaud, où en sont les négociations entre le Conseil général et la Compagnie des Alpes ? (1)
« Nous avançons au quotidien avec la Compagnie des Alpes et la Caisse des dépôts et Consignations. Août sera d’ailleurs un mois utile pour continuer à progresser dans le montage juridique et financier d’un dossier complexe mais essentiel, qui me mobilise quotidiennement. »
« Il n’y a pas véritablement de pierre d’achoppement. Mais nous avons des exigences. Nous ne voulons pas que le Parc devienne saisonnier. Cela serait nuisible à son image, mais aussi à ses salariés et aux professionnels du tourisme. Pour nous, la période d’ouverture doit rester identique à celle d’aujourd’hui (NDLR, onze mois par an, fermeture totale en janvier). C’est un point non négociable. »
« Nous voulons que les nouveaux investisseurs s’inscrivent dans la stratégie de la direction actuelle du 10-20-60. À savoir, 10% du chiffre d’affaires du Parc consacré à l’implantation de nouvelles attractions et pavillons, 20% dévolu au renouvellement pour un taux de revisite de 60%. C’est l’une des clefs de la réussite actuelle du Futuroscope. De ce côté-là, je dirais qu’il reste encore des marges de progrès... »
Quel va être le contenu des négociations à venir ?
« Nous entrons dans la phase où il faut formaliser les choses par écrit. Et c’est le plus délicat afin que les engagements des uns et des autres soient bien respectés dans l’avenir et ne fassent l’objet d’aucune contestation. Nous voulons tirer les enseignements du passé (2). »
(1) Le Conseil général est aujourd’hui l’actionnaire de référence de la société d’économie mixte (SEM Futuroscope) avec près de 74% des parts. La Compagnie des Alpes a émis le souhait d’entrer au capital à hauteur de 40%, faisant redescendre le Département à 34%, ce qui lui permettrait de conserver une minorité de blocage.
(2) En mars 2000, le Conseil général de la Vienne, alors présidé par René Monory, avait cédé l’exploitation du Parc du Futuroscope au Groupe Amaury (Aujourd’hui en France, L’Equipe, Tour de France, Dakar…) pour 42,3 millions €. En décembre 2002, le Conseil général rachetait ses parts pour 15,2 millions €. En deux ans, le Futuroscope avait perdu des centaines de milliers de visiteurs et 18 millions €.
(3) Initialement, le calendrier prévoyait un aboutissement des négociations « avant la fin juin ».
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