Hier
Les derniers détails techniques du « Petit Prince » sont en passe d'être réglés. Nous avons testé la dernière attraction du Futuroscope.
Dessine-moi un mouton ! Orson Welles, génie créateur, l'avait rêvé. Le Futuroscope l'a fait. Première adaptation cinématographique de l'œuvre d'Antoine Saint-Exupéry, le « Petit Prince » est la grande nouveauté de l'été du parc d'attraction.
« Nous apportons actuellement les dernières modifications, explique Dominique Hummel, « maître » des lieux. Nous profitons des visiteurs pour étalonner la version finale du spectacle. »
Chose promise, chose due, la file d'attente est partie intégrante de l'animation. Le « pré-show » donne le ton. Dauphins mécaniques, poulpes articulés... L'univers onirique de Saint-Ex' est bien présent. Les yeux grands ouverts, la bouche ébahie, nous nous imaginons déjà en « Petit Prince ». Une paire de lunettes attrapée au vol, nous nous mêlons ensuite à la foule et prenons place pour douze minutes de projection.
A ma gauche, un grand-père. A ma droite, une gamine haute comme trois pommes. L'animation est véritablement ouverte à tous. « Le parti pris a été d'offrir un cinéma dynamique accessible aux plus petits, évoque Dominique Hummel. Nous parlons de « sensation smooth » ». Comprendre par là que les effets réels ne vous feront pas tressauter de peur. Chauves-souris entre les jambes, le souffle du renard se posant sur votre visage... L'expérience est enivrante sans être traumatisante.
Et l'histoire ?
« Respectueuse de l'œuvre
», conclut Claude Bertaud, président du Conseil général, venu découvrir l'attraction.
« L'adaptation est moderne. Et cela n'enlève rien au charme du récit, juge Pauline. La représentation du mouton est tout simplement géniale.
»
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jeudi 21 novembre