
Hier
Les cinq ans de la crise Covid la semaine dernière, le réarmement du pays... Vous allez finir par vous dire que votre hebdo préféré a changé, sombrant dans un déclinisme de circonstances. Pas du tout ! L’actualité est certes anxiogène à beaucoup d’égards, mais la rédaction regarde au-delà de la brume ambiante, précisément du côté des (très) nombreuses initiatives positives sous les radars sans les médias. Anaïs Gourbault, Jean-Michel Vigié, Hélène Kersuzan, Tony D’Anjou et Thierry Renoux ne se connaissent pas. Ils partagent pourtant le goût de l’aventure et une certaine conception de l’altruisme, dans des domaines radicalement différents ! Leurs initiatives, recensées dans ce numéro 679, vous interpelleront par leur dimension insolite ou vous toucheront par leurs intentions. La société regorge de belles histoires de fraternité, de liens noués, encore faut-il les repérer. Ah, on allait presque oublier une autre bonne nouvelle : les massifs forestiers vont mieux grâce aux pluies intenses -et pénibles à hauteur d’humain- de l’automne et de l’hiver. Vous reprendrez bien un peu d’actu ?
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Thierry Renoux. 54 ans. Aveugle de naissance. Fondu de musique. Pianiste de talent. A vécu quatorze ans aux Etats-Unis. Est revenu à Poitiers après le décès de son épouse Christine. A partagé le piano de Stevie Wonder. Signe particulier : doté de l’oreille absolue et d’une modestie à l’avenant.