
Hier
100 millions ! sans prétention
Dans 100 millions !, Nath Dumont s’appuie sur le personnage d’un ouvrier syndicaliste devenu millionnaire pour interroger le poids des convictions face à l’argent. Sans rien révolutionner.
Née en 1965, la lampe Pipistrello de Martinello Luce, designée par l’architecte italienne Gae Aulenti, connaît un succès immédiat dès sa sortie. Sortant des sentiers battus, elle se distingue par ses courbes douces et féminines, qui lui confèrent un charme irrésistible. La forme convexe s’inspire de la pipistrelle, l’abat-jour translucide de la lampe évoquant les ailes de la mignonne petite chauve-souris. Réalisée en métal (pour le pied) et en méthacrylate (pour l’abat-jour), la version d’origine est en métal laqué noir/brun foncé, mais elle se décline aujourd’hui en plusieurs teintes, notamment les classiques noir, blanc et doré. Très fonctionnelle, elle peut être utilisée de multiples façons sans dépareiller avec son environnement. Aussi à l’aise en lampe de table que de chevet ou de bureau, aussi bien dans la chambre que dans le salon, elle apporte un éclairage subtil et délicat en toute -relative- discrétion. Car on ne peut l’ignorer. Grâce à son pied télescopique, déployable telle une longue vue, il est possible de régler la hauteur de l’abat-jour et donc de jouer sur l’effet de lumière, et d’ambiance.
Disponible en différentes tailles, cette jolie et charmante lampe permet soit d’éclairer une zone très discrète dans un intérieur, soit de prendre de la hauteur et d’éclairer plus largement en créant une ambiance feutrée. Elle peut aussi parfaitement se suffire à elle-même, telle un objet d’art posé sur un guéridon ou une table basse. Dans tous les cas, elle trouve assurément une place de choix dans nos intérieurs, rétro ou modernes.
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