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Les premiers campings cars étaient stationnés dès 9h ce matin sur le parking du Futuroscope. Le parc poitevin réouvrait ses portes aujourd’hui avec son attraction phare Arthur, l’aventure en 4D.
Comme chaque année, le parc a renouvelé 20% de son offre. Le film réalisé par Luc Besson tout spécialement pour le Futuroscope apparaît comme l’un des moteurs de cette nouvelle saison. Assis dans une nacelle en forme de coccinelle, les visiteurs aident Arthur à retourner dans son monde en échappant aux guêpes et aux araignées. Les mouvements des sièges associés aux images en 3D provoquent des sensations de vitesse et de vertige. A voir.
Le tour d’horizon des nouveautés 2010 continue par Blues sur la Louisiane (au Kinémax), un film Imax projeté sur un écran hémisphérique de 900m2. Ici, les visiteurs parcourent la Nouvelle Orléans avant et après le passage de l’ouragan Katrina (2005) et constatent l’érosion des côtes ainsi que la disparition des marais, aussi appelés bayous. A noter la bande son mêlant blues, swing et gospel.
Moi, Van Gogh est également un film Imax qui retrace la vie de l’artiste capable de peintre jusqu’à 80 tableaux par mois au cours de sa 37e et dernière année. Les gros plans permettent d’entrer dans la toile jusqu’à se retrouver près du chat, au centre du Jardin de Daubigny, l’un des derniers tableaux du maître décédé en 1890.
Les connaisseurs seront heureux d’apprendre que le pré-show de la Vienne dynamique va être entièrement rénové. Terminé les 850 téléviseurs à tube cathodique ! Bienvenue à « l’écran aquatique ». Attention, ici les images ne sont pas simplement projetées sur un mur d’eau. Trop facile ! En réalité, des centaines de robinets situés au sommet de l’écran s’interrompent tous les quarts de seconde en respectant un programme informatique dédié jusqu’à recréer des images de paysages poitevins…
Le président du directoire du Futuroscope, Dominique Hummel, prévoit un minimum de 125 000 visiteurs en février, contre 90 000 en 2009. Une hausse expliquée notamment par le Futuropass, des réductions réservées aux habitants de la Vienne.
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Contre la DMLA atrophique, il n’existe pas de traitement mais il est possible d’améliorer la vue des patients, sous conditions, grâce à des technologies innovantes telles que le SING IMT, un implant nouvelle génération. Plus de détails avec le Pr Levéziel, du CHU de Poitiers.
jeudi 21 novembre