Aujourd'hui
Le 7 vous propose cette saison une chronique autour de l’étiopathie, en collaboration avec Guillaume Galenne(*).
Les dysménorrhées touchent un très grand nombre de femmes. Les douleurs peuvent être très invalidantes et ces femmes sont souvent incomprises dans leurs souffrances. La pilule contraceptive reste l’une des seules « solutions » utilisées pour réduire ces douleurs. Comme toute structure anatomique, l’utérus est vascularisé. A chaque cycle, une partie de la muqueuse interne (endomètre) est évacuée par l’action de contractions utérines et d’un délabrement naturel de cette muqueuse (règles).
Le phénomène des règles douloureuses est en fait dû à la lutte de l’utérus pour évacuer cette partie de l’endomètre, provoquant alors des douleurs parfois intenses générées soit par un problème mécanique vertébral à destinée utérine, soit par une congestion veineuse de l’utérus (ralentissement du courant sanguin).
Un problème mécanique ou une congestion veineuse abdominale ou pelvienne n’entraînent pas seulement des règles douloureuses, cela peut aussi provoquer cystites, constipation, hémorroïdes, colopathie fonctionnelle... traitables grâce à l’étiopathie. Les étiopathes résolvent tous les jours ce genre de pathologies, nécessitant le plus souvent quelques séances pour les traiter.
(*)Diplômé de la Faculté libre d’étiopathie, après six ans d’études, Guillaume Galenne a créé son propre cabinet en septembre 2017, à Jaunay-Marigny. Contact : guillaume-galenne-etiopathie.fr
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