L'impossible deuil

Le 13 novembre 2015, Chloé Boissinot tombait sous les balles des terroristes, à la terrasse d’un café du 11e arrondissement de Paris. Un an après les terribles attentats dans la capitale, sa mère Elisabeth peine toujours à faire son deuil.

Romain Mudrak

Le7.info

Sur son avant-bras droit, un tatouage interpelle. A l’encre indélébile, deux dates y sont inscrites : « 20 11 1989 - 13 11 2016 ». La première renvoie à la naissance de Chloé, la seconde à son assassinat, un soir d’automne comme la France n’en avait jamais connu. Sa mère, Elisabeth Boissinot, souffre encore dans sa chair comme si c’était hier. « Je suis presque plus mal qu’il y a un an »,  avoue-t-elle entre deux sanglots. Témoigner auprès des médias lui permet d’exorciser une angoisse indicible.
Retrouvez le témoignage intégral d'Elisabeth Boissinot dans la prochaine édition de "7 à Poitiers".

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