
Aujourd'hui
Ô temps, suspends ton vol…
L'édito de la semaine est signée Nicolas Boursier.
Les débats autour de l’achat du complexe sportif de la Banque de France se suivent... et se ressemblent (Lire ici, ici et ici). Ce soir encore, les élus de l'opposition ont affiché leurs réserves quant à l'achat de ce bien d’une superficie de 41 876 m², composé d’un gymnase, d’un logement et d’un stade. Grand Poitiers s’est porté acquéreur pour la somme de 500 000€. Une somme équivalente sera dépensée pour rénover entièrement ce complexe. « Nous désapprouvons ce choix. Ce n’est pas tant l’achat, qui a été bien négocié, mais le financement des travaux, puis le coût du fonctionnement et de l’entretien qu’il faudra assurer que je dénonce. Parfois, il faut savoir dire non. Et là, monsieur le président, vous auriez dû dire non », a déclaré Jacqueline Daigre (Groupe Républicains, centristes et indépendants).
Pour Alain Claeys, il s’agissait d'une « opportunité » à ne pas manquer. « Il y a eu un débat, nous avons fixé une limite budgétaire à un million pour l’achat du complexe et sa rénovation, nous ne l’avons pas dépassée. » « Il est indiscutable que cela constitue une opportunité foncière, il n’en est pas moins vrai que les besoins de rénovation des équipements existants sont très forts, rétorque Jacques Arfeuillère. (Osons Poitiers). Par exemple, il va falloir refaire rapidement la toiture du gymnase de la Banque de France. On fera donc attendre la deuxième phase de réhabilitation du gymnase de Migné… » Justement, Florence Jardin, qui s'était toujours montrée « réticente », s'est abstenue.
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