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Course : la tendinopathie d’Achille
Notre expert en course à pied Jean Fleuret vous propose ses bons conseils pour rester en forme.
C’est le genre de match qui ferait aimer le basket à tous les novices. Ce soir, le PB86 a été moins bon que son adversaire dans l’ensemble, mais a su mettre les paniers qu’il fallait, quand il le fallait, pour s’imposer. Dès l’entame, on voyait pourtant le piège « Denain » se refermer sur les Poitevins. De nombreuses pertes de balle et surtout de nombreuses fautes conduisent Antoine Brault, remplaçant de Ruddy Nelhomme sur le banc, à revoir son système de jeu. Littéralement prise de vitesse par le jeu de passes rapides denaisien, la défense poitevine semble dépassée. En face, Denain joue crânement sa chance et engrange de précieux points, suffisants pour faire douter Poitiers.
Nerveux, les Poitevins multiplient les erreurs et voient Dorsey quitter le parquet pour une quatrième faute personnelle bêtement concédée (14e). Saint-Eloi hurle son mécontentement contre un arbitrage plus qu’approximatif. À la pause, les Poitevins sont derrière de dix points.
20-0, série en cours !
En l’absence de Ruddy Nelhomme, malade, son adjoint Antoine Brault prend ses responsabilités. Le savon passé dans les vestiaires à la mi-temps fait son effet. À la reprise, Poitiers affiche un tout autre visage, concède deux paniers, puis inflige à Denain un… 20-0 ! En l’espace de huit minutes, la situation s’inverse. Sans Dorsey ni Ekperigin en début de quart, le PB peut compter sur ses autres cadres, et notamment Jeff Greer (15 pts, 3 pd, 6 rbs, 18 d’éval), pour se présenter à l’entame de la dernière reprise avec une confortable avance de douze points.
Mais dans ce match complètement dingue, rien n’est jamais fait. Profitant d’une réussite retrouvée et de faiblesses dans la défense poitevines, Denain tente un baroud d’honneur et revient à trois unités à deux minutes du terme. Poussé par un public remonté comme jamais, le PB s’impose finalement, dans la douleur, mais au terme d’un match épique !
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Ludivine Gonthier. 27 ans. Peint sa vie au gré de ses joies et de ses peines, guidée par son seul instinct. A élu domicile au bord du Clain, dans un atelier troglodyte loin des tumultes de la vie parisienne. Signe particulier : ne passe pas une journée sans peindre.