Hier
Dans le cadre des vingt-cinq ans du Futuroscope, le Guerliguet, personnage emblématique du Pavillon de la Vienne, prendra forme à travers les allées du parc d’attractions, à partir du 17 décembre.
Le Guerliguet s’apprête à sortir du Pavillon de la Vienne. Dix-sept ans que ce bonhomme des bois traîne dans « son » cinéma dynamique. Facétieux et rigolard, il se cantonnait, jusque-là, à guider un futur marié à travers le département de la Vienne. Une pérégrination virevoltante dont les visiteurs du Futuroscope conservent généralement un souvenir impérissable.
Pour les vingt-cinq ans du Parc, le Guerliguet s’apprête à déchirer l’écran. Non content de poursuivre sa carrière d’acteur -une nouvelle version est dans les tuyaux-, il doublera sa prestation scénique à compter du 17 décembre, dans les allées du Futuroscope.
Sous la création artistique de Marie-France Larrouy, le personnage va désormais prendre vie dans la réalité. Pour l’heure, il veille à soigner sa tenue dans les locaux de « Multi Création », à Paris. Ici, il est entouré d’une équipe aux petits soins, soucieuse de lui tailler un costume sur mesure.
L’essayer, c’est l’adopter
« Les derniers réglages sont en cours, glisse la « couturière » des arts du spectacle. La phase de création pure est finie. Nous sommes en plein dans cette laborieuse étape, où l’on avance pas à pas. La prise de tête est constante. »
Le jour de notre visite (Ndlr : mardi 4 octobre), les acteurs amenés à endosser le rôle du Guerliguet enfilaient le costume et le quittaient aussi vite. L’un parce que la tête du costume était mal ajustée (le moule de son menton est à refaire !) ; la seconde, parce que ses épaules peinaient à soutenir l’habit. « Nous allons trouver une solution », promet Marie-France Larrouy. À l’impossible nul n’est tenu. Tel est son leitmotiv. Une détermination et un sérieux que loue Nadine Aubineau, directrice artistique du Futuroscope. « Avec Marie-France, je ne me soucie de rien. Elle a cette qualité de ne jamais dire : « C’est impossible ». C’est rassurant de bosser avec une telle professionnelle. »
Qu’on se le dise, le Guerliguet est entre de bonnes mains. En attendant d’arriver tout pimpant au Futuroscope, il continue de parfaire sa tenue d’apparat dans le « Sentier » parisien... Rendez-vous est pris pour le 17 décembre.
À lire aussi ...
Hier
DMLA : un implant innovant
Contre la DMLA atrophique, il n’existe pas de traitement mais il est possible d’améliorer la vue des patients, sous conditions, grâce à des technologies innovantes telles que le SING IMT, un implant nouvelle génération. Plus de détails avec le Pr Levéziel, du CHU de Poitiers.
jeudi 21 novembre