mardi 24 décembre
L'édito de la semaine est signé Arnault Varanne, rédacteur en chef du 7.
Deux hivers secs et un été brûlant (2022) auront donc accéléré la prise de conscience à vitesse grand V. Plus personne ne considère désormais l’eau comme une ressource inépuisable, surabondante. Et les premiers résultats de l’étude Hydrologie milieux, usages et climat (cf. page 5) achèveront de convaincre les derniers sceptiques. HMUC : quatre lettres et le néant ? Pas tout à fait, mais une certitude affleure : tout le monde va devoir contrôler sa consommation, des particuliers aux agriculteurs, des industriels aux collectivités. Si le constat, brut, fait presque consensus -le Département reproche à HMUC son absence de marge d’erreur-, les solutions à mettre en œuvre diffèrent radicalement. On ne peut que s’étonner que l’Etablissement territorial public du bassin du Clain n’ait pas daigné réaliser une étude d’impact sur les activités humaines. L’Etat s’y est substitué sur le volet agricole pour mieux légitimer la nécessité de construire des réserves, par ailleurs entérinées le 3 novembre dernier. Une anticipation nécessaire estime le préfet qui considère qu’on a déjà perdu beaucoup de temps. Un passage en force jugent les opposants. En résumé, tout le monde est dans le même bateau mais personne ne
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