
Aujourd'hui
Ô temps, suspends ton vol…
L'édito de la semaine est signée Nicolas Boursier.
L’union est sacrée. Les premiers pas isolés de 1999 déjà bien éloignés. Les 28, 29 et 30 janvier prochains, le mariage et l’habitat feront, pour la neuvième année consécutive, cause commune pour guider les visiteurs au pays du rêve et de l’évasion.
Au coté des cent soixante exposants « Maison et confort », une quarantaine de professionnels du mariage (décorateurs, traiteurs, organisateurs, robes de mariées, photographes, bijoutiers…) éclaireront de leurs conseils avisés le chemin des indécis. « Par tradition, le public mariage est majoritairement composé de futurs époux, qui aiment à picorer les idées, les nouveautés et les recommandations », commente Stéphane Bertrand, de CapExpo, organisateur de la double manifestation. Si l’occasion est belle pour les tourtereaux de préparer leur nid, elle l’est, bien entendu,
tout autant pour les exposants de faire des affaires. « Les visiteurs viennent, pour la plupart, avec des projets précis,
explique Stéphane Bertrand. Mais il n’est pas rare qu’ils succombent à l’achat d’impulsion. Certains commerçants, les bijoutiers notamment, n’hésitent d’ailleurs pas à proposer des offres salon des plus sympathiques. »
Au royaume du dépaysement, le salon du mariage s’est fait un nom. Et une spécialité : la mise en lumière des tendances du moment. Côté mode, les défilés sont devenu sune marque de fabrique. Six au total seront proposés pendant le week-end. Plaisir des yeux assuré, succès garanti !
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Quiconque a la chance de posséder un extérieur se languit du retour des beaux jours et de la possibilité de nouveau offerte de vivre à l’air libre. Plus que jamais, le jardin est une valeur refuge.
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Qu’elle soit considérée comme le prolongement de la maison, ou utilisée telle une oasis de fraîcheur, comme un havre de réconfort niché au milieu du jardin, la pergola conquiert de plus en plus de cœurs sensibles au confort et à l’esthétique, au fonctionnel et au durable. Au sommet des préférences, la version « bioclimatique » n’en finit plus de séduire.