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Course : la tendinopathie d’Achille
Notre expert en course à pied Jean Fleuret vous propose ses bons conseils pour rester en forme.
Si vous n’avez jamais couru dans l’amphithéâtre d’une école d’ingénieurs, inscrivez-vous vite à l’Urban Trail de la Technopole, qui se déroulera le 13 juin à Chasseneuil-du-Poitou et Jaunay-Marigny ! Les étudiants de l’Ensma ont immédiatement pensé à ce lieu emblématique de leur établissement. Quand les Cavaleurs du Clain leur ont proposé de mettre la main à la pâte, tous les membres du club Ensmarathon ont répondu à l’appel : « On est tous coureurs et, personnellement, j’aime participer à des épreuves quand je sais que le parcours a été bien réfléchi et que ce n’est pas monotone. Je suis contente de donner mon avis », estime Manon, en première année. Il faut s’attendre à quelques surprises dans ce bâtiment à l’architecture déroutante. « Toutes les semaines, à chaque sortie running, on en profite pour faire le point avec les autres membres du club », poursuit Nathan, en 2e année. La Fansmare sera de la partie.
Du côté de l’université de Poitiers, l’ambiance est moins à l’entraînement… « On n’est pas nombreux à courir dans notre groupe », confie Ewan, en licence de physique au SP2MI. Mais leur motivation est entière. « On prévoit des animations comme de l’escrime artistique par exemple et on a demandé aux chercheurs des laboratoires de montrer ce qu’ils font », note Candice, en licence de sciences pour l’ingénieur. Visiter des lieux habituellement fermés au public, c’est le concept de cet Urban Trail. Clency Perrine, co-président des Cavaleurs du Clain, se félicite de la présence des étudiants : « L’événement prend plus de sens. On dit souvent que ce campus n’est pas assez vivant, on espère fédérer les gens et les amener à se rencontrer. »
Le lycée pilote innovant international (LP2I) sera aussi traversé par les coureurs et les marcheurs le 13 juin prochain. Là-bas, une vingtaine d’élèves planchent sur le parcours et les animations. « C’est une ACF, une Activité complémentaire de formation, qu’on a choisie en début d’année. C’est un honneur de participer à la première édition, tout est à construire », se réjouit Angèle, 17 ans, en terminale. Les élèves seront tous évalués sur leur travail. Ils ont imaginé trois groupes qu’on appelle ici des « chemins » : « Certains proposent des séances d’entraînement, d’autres organisent la course, d’autres encore s’occupent de la communication et des sponsors », précise Zoé, également en terminale. Les idées fusent, si bien que les élèves comptent capitaliser sur leur expérience pour créer deux autres courses à l’intérieur de l’établissement, dont une première pour la Saint-Valentin, le 14 février.
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Ludivine Gonthier. 27 ans. Peint sa vie au gré de ses joies et de ses peines, guidée par son seul instinct. A élu domicile au bord du Clain, dans un atelier troglodyte loin des tumultes de la vie parisienne. Signe particulier : ne passe pas une journée sans peindre.